Rencontre un jour gris [Pv Bulle Irréelle]

Je m'était évadée, j'en avait plus que marre, la vie en clan ce n'était pas forcement le bonheur, des fois la solitude était tellement plus agréable. La solitude m'avait accompagné partout, j'avais semée la solitude partout, elle avait toujours été présente avec moi et j'avais l'impression de l'avoir transmise. Ce n'était pas tout le temps désagréable mais des fois c'était pesant. Alors que je levais le museau vers le ciel pour apercevoir les nuages s’amonceler une goutte me tomba sur la truffe, j’éternuai trois fois, j'aimais la pluie mais pas quand elle me prenais par surprise. Je m'abritais sous un arbre majestueux et me rendis compte que j'avais cheminée jusqu'aux quatre chêne, j'avais vagabonder sans m'en rendre compte jusque là. Il n'aurais pas dû pleuvoir à cette époque de l'année, il y aurais du avoir de la sécheresse, j'aurais dû foulé des longes herbes sèche, j'aurais dû être assoiffée, pourtant il n'en était rien. J'avais peur que l’hiver arrive trop tôt et que je n'ai pas assez profité du soleil. Une brise fraîche ébouriffa mes poils et m'arracha une grimace. Il faisait presque froid. La pluie redoubla d’intensité et n'en finissait pas de tomber. Je commençais à avoir les membres engourdis et il me tardais de courir et de déployer mes pattes. Avec un soupir à fendre l'âme je sortis de mon abris. J'avais une envie folle d'inaugurer quelque chose, je souhaitai monter sur une des pierres qui servait de promontoires pour les chefs. Je laissa cours à mes désirs et me retrouva deux minutes plus tard sur l'une d'entre elles. Il y avait une vue superbe et je me plaisais bien ici. Bientôt ma joie fut atténuer par la pluie qui avait mouillée mon poils. J'étais trempée. Je grommela une phrase inintelligible entre mes dents et sauta au pieds de la pierre. Je la contourna et continua mon chemin, bientôt je me retrouva à côté d clans du vent, je fit halte devant la limite de leurs territoire et observa le vaste espace, je repéra un autre arbre assez maigres qui abritais dores et déjà un chat, je ne l'avais pas vu et en me retournant je remarqua que j'aurais pu le voir de mon perchoir au quatre chênes et que lui en revanche m'avait sûrement observée de là bas. J'avais été tellement absorbée par ce que j’avais fait que je m'étais laissée distraire et je n'avais pas remarqué la présence du félin qui m'observais peut être depuis longtemps. Mon inattention aurais pu me coûter cher, mais décidant qu'il m'aurais déjà attaqué s'il avait voulut car il avait eu une multitudes d'occasions je vins m’abriter auprès de lui. À ma grande surprise il ne sentais aucun clans, de plus c'était un femelle.