Aide moi j'ai mal! [PV Epine de Hérisson]

Aide moi j'ai mal.!



Je me promenais, d'un pas légé, dans la foret. Le vent frai du début de l'été faisait voler mes poils gris, et m'apportais des odeures extraordinaires. L'odeure si familère de la rivière, évidement, mais aussi des odeures de plantes, d'herbes, je reconnaissais même des odeures de chat de mon clan. L'été était de loin ma saison préférée. Le soleil, la brise fraiche qui vient frapper mon pelage... Le bonheur a l'état pur, quoi! Donc je me promenais, doucement, tranquillement, en sautillant, d'un pas légé... Quand, tout a coup, je trébucha. Ma patte se tordit en laissant échapé un gros bruit de craquement. Aïïïee! Une énorme douleure vint me frapper la cheville. En me relevant, parcqu'évidement, j'étais tombée, je tentais de ne pas poser ma patte par terre. Je priais le clan des étoiles pour que je puisse arriver au camp... Même si cela ne faisait absolument pas partie de mon caractère, je me mis a avoir peur. Jene comprenais pas comment j'avais put me faire aussi mal, juste en trébuchant. J'imaginais le pire. Une fracture. Je ne pourrais peut être plus jamais combattre, si j'en avais une! Mais... Je n'avais rien fait de particulier. Je tentais de me rassurée, toujours affolée:
Mais non, ce n'es rien! Je me suis juste tordu la cheville. Juste tordu la cheville...
Cette technique marcha un moment... J'ai recommencé a penser aux chants des oiseaux, à l'odeur des plantes, qui remplissaient mon museau de milles délicieuses odeurs... Je n'étais plus affolée, et je commençais a voir les choses avec du recul. Comme je n'avais rien fait, il semblerait que je n'es rien... Je l'éspèrais, du moins. Avec moins d'affolement, ma cheville me faisait moins mal. Je savais que cela de durerais pas. Et j'avais raison, car, deux petites minutes après, elle me tordit encore de douleur. Cette fois, je n'arrivais même plus a penser aux oiseaux, aux plantes...

En fait, je ne savais absolument pas comment j'ai réussis trainer jusqu'au camp. Sur trois pattes, alors que je venais a peine de me lever, que j'étais encore a moitié endormie. En arrivant a l'entrée du camp, je me trainais un peu plus jusqu'a latanière de mon guerrisseur. En arrivant a l'entrée, je me dépêcha de l'appeler:

"Epine de Hérisson! Viens! J'ai besoin d'aide! J'ai mal!"

[J'ai éditer, pour qu'il soit plus long ]

Viens près de moi ..

L'air frais de la brise matinale vint caresser mon pelage tricolore. Je soufflais, respirais, écoutais les oiseaux piailler et l'onde pur de l'eau écouler son liquide translucide dans son interminable cycle. Aujourd'hui, c'était mon jour de repos, car c'était mon anniversaire, il y a onze lunes, je naissais du ventre de ma mère. Mon chef m'avait donc accordé une journée de détente, car disait il : "J'étais encore jeune."

J'avais donc profité de l'occasion pour aller me promener un peu. Mais malheureusement, mon ventre criait famine, et je n'avais aucune envie d'aller pêcher a cette heure ci, étant donné que mes pattes étaient encore toutes engourdies par la nuit que je venais de passer dehors avec ma compagne : Nuage Noir. Je décidais donc de rentrer au camp pour m'offrir un bon repas sous le soleil de midi.

Une fois devant le tas de proie de l'île, je me choisis un bon saumon et me postais assis devant ma tanière pour le déguster. J'eus le temps d'observer avec attention l'activité de chaque membre du clan, y compris celle de mon amour, en toute discrétion, évidemment. Une fois rassasié, je partis me dissimuler sous mon rocher, rouler en boule dans ma litière, fatigué par cette nuit au clair de lune.

- Epine de Hérisson ! Viens ! J'ai besoin d'aide ! J'ai mal !

J'émergeais de mon sommeil et de mon rêve pour me retrouver nez à nez avec Lune Amoureuse, à moitié allongée sur le sol. Intrigué, je me levais, m'ébouriffais et partis lui demander ce qui lui arrivait. Elle s'était, m'expliqua t elle, tordue la cheville en tombant dans la forêt ce matin. J'acquiesçais et examinais sa patte. Pas de lésion ni de plaie, rien de bien méchant.

Je m'enfonçais dans le noir de ma tanière et en ressortais la gueule pleine d'herbes et de plantes en tout genre. Je lui donnais deux graines de pavot pour qu'elle ne sente pas la douleur tandis que je lui appliquais de la purée de mille feuille sur le pelage de sa patte. Une fois enduite, je mis de chaque côté deux morceaux de bois, et des toiles d'araignées pour la maintenir. Tadaa !

- Et voilà, tu ne la touches pas, et surtout ne t'appuis pas dessus pendant une semaine ! Reviens me voir dans sept jours, nous verrons ce qu'il en est. Tu arrives a marcher sur trois pattes ?

Une semaine, c'est déjà beaucoup!

Épine de Hérisson examina ma cheville. Je ne savais pas si il avait vue mon inquiétude, et cela m'était bien égal, de toute façon. Il allait me guérir, et cela, c'était le plus important. Le gueriseur prit un air assez rassuré, ce qui me calmât beaucoup. Je le regardais, et vit qu'il s'en allait, surement pour me chercher quelques herbes. Il revint quelques instants plus tard, avec des herbes pleins la bouche. Je reconnaissais quelques graines, car j'aimais beaucoup aider les gueriseurs, dans mon temps libre. Il avait des toiles d'araignées, des bouts de bois. Je voyais aussi quelques plantes, que je jugea être des graines de pavot. Rien de bien inquiétant, pour l'instant. Il portait aussi un autre chose, mais je ne savais la reconnaître. J'étais plutôt prudente, d'habitude, et il m'arrivait rarement de me faire mal au point de devoir aller le voir dans sa tanière. J'avais peur de le déranger, le plus souvent. Mais aujourd'hui, je n'y avait même pas penser... Je baissa la tête, honteuse, de n'avoir même pas songer a le déranger.

Il prit deux graines de pavot, et me les donna a manger. Je n'en sentais même pas le gout. D'ailleurs, je ne savais pas si les graines de pavot avaient un gout. Mais je savais a quoi elles servaient. Il prit ensuite l'ingrédient que je n'avais pas sus identifier. On aurait dit une sorte de purée... Avec une couleur un peu bizarre. Je ne sentais pas la douleur, lorsqu'il me l'appliqua sur la patte, car les graines de pavot avaient fait leurs effet. Il me plaça ensuite des bouts de bois de chaque coté de la patte, et les attacha avec les toiles d'araignées.

Une fois qu'il avait fini de soigner ma cheville, il me dit:
- Et voilà, tu ne la touches pas, et surtout ne t'appuis pas dessus pendant une semaine ! Reviens me voir dans sept jours, nous verrons ce qu'il en est. Tu arrives a marcher sur trois pattes ?

Une semaine... C'était très long, pour moi. Cela voulait dire une semaine sans chasser, sans combattre. Heureusement, je n'avais pas d'apprenti, car cela aurait aussi retarder son entrainement d'une semaine. Bon! J'allais trouver une autre façon de me rendre utiles sur le camp.Je ne supporterais pas de ne rien faire pendant tout ce temps.

"Et bien...Je n'y toucherais pas. Avec un peu d'entrainement, je devrais pouvoir arriver a marcher sur trois pattes... J’espère. Sinon, cela veut dire que je ne pourrais plus chasser?"

Je voulais quand même savoir si je devais vraiment stopper toutes mes activités actuelles, ou si je pouvais quand même me rendre un peu utile. Une bouche de plus a nourrir sans qu'elle ramène un peu de gibier pour le camp, c'était déjà beaucoup. Et encore, nous arrivions a la saison des feuilles vertes, le gibier se faisait de moins en moins rare.

- Et bien...Je n'y toucherais pas. Avec un peu d'entrainement, je devrais pouvoir arriver a marcher sur trois pattes... J’espère. Sinon, cela veut dire que je ne pourrais plus chasser ?

Ah la la ces chats. Ils croient tous que même sur trois pattes ils sont capables de gambader jusqu'à pouvoir tuer une proie. Bof, l'espoir fait vivre hein, autant ne pas leur enlever, mais si par malchance elle s'appuyait sur sa patte, mais quelques secondes, le muscle pourrait se rebriser ou quelque chose de ce genre, et ce n'est pas bon du tout.

- Non, surtout pas de chasse, ni de patrouille, ça t'inciterait trop a la poser, tu dois te reposer. Je suis désolé.

Elle fit la moue. Je fis de même, car je repensais que je travallais pendant mon seul de repos, mais j'avais choisi cette voie et je devais l'assumer au maximum. Je lui adressais un bref sourire avant de lui proposer mon aide pour la soutenir jusqu'à l'antre des guerriers. Elle l'accepta de bon coeur, et je la soutins jusqu'à ce qu'elle s'allonge dans sa litière.

- Veux tu que je te tienne compagnie ?

DÉSOLÉE c'est court j'ai pas d'inspi x)
Et j'ai eu un gros beug avec mon compte Rissou je n'arrive pas à me connecter j'ai donc fait avec celui ci :/

Je ne veux pas derranger...

- Non, surtout pas de chasse, ni de patrouille, ça t'inciterait trop a la poser, tu dois te reposer. Je suis désolé.

J'étais déçue, mais, au fond, je m'y attendais. Au fond, sans la possibilité de posser la patte au sol, il serait dur de participer a une patrouille, ou a une partie de sache. Malgré cela, je savais aussi que je pourrais difficilement m'en passer. Mais peu importe. Il fallait que je fasse attention a ma patte. Je vis que lui aussi avait l'air déçu. Peut'être pas déçu, mais surement une émotion qui y ressemble. Est-ce-que je l'avais dérangé? J'éssayais de me souvenir si j'avais entendut parler de quelque chose sur ce jour, mais ne me rappelait rien. J'avais pourtant l'impréssion d'avoir oublié une chose importante. J'éssayais de passer au deçu de cette désagréable impréssion, mais cela fut plus difficil que ce que je ne croyais.

Il me proposa de me conduire jusqu'a l'aide des guerriers. J'éssaya de marcher sur trois pattes, mais je fallis tomber. Après cela, mais avec quelques regrets de le déranger encore, j'éccepta sa proposition. Il m'aida donc a traverser le camp, jusqu'a l'antre des guerriers. Il m'aida ensuite a m'alonger sur ma litière, surement pour être sur que je ne touche pas déjà ma patte par terre. Avec un peu de difficulté, je réussis, grâce a l'aide du guerrisseur bien sur, a me mettre dans ma litière.

-Veux tu que je te tienne compagnie ?

Je répondis, un peu génée:

"Non, ça ira, je ne voudrais pas te déranger encore plus longtemps... Merci. Au fait, si jamais tu as besoin d'aide pendant que je dois encore marcher sur trois pattes, et que je peux faire quelque chose pour toi, je serais ravie de donner un coup de main, je supporterais assez difficilement d'être inutile sept jours entiers..."

Tu ne me dérange pas ..

- Non, ça ira, je ne voudrais pas te déranger encore plus longtemps... Merci. Au fait, si jamais tu as besoin d'aide pendant que je dois encore marcher sur trois pattes, et que je peux faire quelque chose pour toi, je serais ravie de donner un coup de main, je supporterais assez difficilement d'être inutile sept jours entiers...

Cette chatte était si attentionnée, si gentille, qu'elle me fit sourire en me disant ça, mais il fut presque nostalgique car curieusement, elle me rappelait mon ancien mentor, Rivière de Sable. Elle me manquait terriblement, sa douceur, son rire, sa chaleur, sa bonne humeur continuelle, pourquoi avait il fallu qu'elle parte elle ? Une boule se forma dans mon ventre et je déglutis avec difficulté.

- Comme tu voudras. Mais moi non plus, je ne voudrais pas te déranger si tu es fatiguée, mais un peu d'aide ne serait pas de refus, donc si tu veux, dès que tu as envie de bouger, viens me voir, et si tu ne me trouves pas, attends mon retour, ne sort pas du camp si possible ou alors juste aux alentours. Allez, repose toi bien.

Je lui tournais le dos et sortait de la tanière, les pieds devant. Sans attendre, je me dirigeais vers le tas de gibier, poissonneux. La pêche était bonne et fructueuse ces derniers temps, d'après ce qui abondait comme sorte de poissons de toutes sortes. Je me choisis une bonne carpe que j'allais me déguster au soleil, seul avec mes pensées.

[ Désolée j'ai pas d'inspi :X ]