Le retour [Pv Griffe Sombre]

J'étais assise près de Griffe Sombre. Décidément, ce matou était protecteur. Protecteur, mais, pas impulsif, même sous le coup de la colère. C'était ce que j'avais remarquée lorsqu'il faisait face au deux guerriers ennemis. Ce que j'avais ressenti en le voyant arriver m'avait paru bizarre, c'était quelque chose que je n'avais jamais ressenti auparavant, même en regardant les autres chats. Mais par le clan des étoiles, je n'étais tout de même pas amoureuse? Si? Je devrais peut-être apprendre à le connaître d'avantage. Ah, et puis, laissons les choses aller, on verra où sa mènera, pensais-je , en jetant un petit regard en coin à Griffe Sombre avant de tourner la tête. J'étais toujours plongée dans mes pensées lorsque sa douce voix me sortit de là:
- Oui, tu as raison, allons-y...peut être pourrons-nous même chasser un peu sur le chemin du retour ? quelques proies pourrait être utile au clan...

Je relevai la tête, le regardai un moment, songeuse, avant d'acquiesçai.
<< Tu as raisons, quelques proies ne seront pas de refus. De plus, ajoutai-je, j'ai une faim de loup. Je ne me rappel même plus mon dernier repas. >>

Après avoir hésité quelques instants, je me levai et bondis en avant m'arrêtant pour l'attendre.
-Tu viens? lançai-je joyeusement.

[Désolé, je n'avais pas vraiment d'inspiration pour le commencer ^^]

Griffe Sombre guetta la réaction de Pelage de Brindille. Elle semblait songeuse et le dévisagea d'une façon étrange qui, loin de le mettre mal à l'aise, le remplit plutôt d'une joie qui le troubla. Puis la guerrière aquiesça :
<< Tu as raisons, quelques proies ne seront pas de refus. De plus, j'ai une faim de loup. Je ne me rappel même plus mon dernier repas. >>
Le guerrier au pelage noir remarqua la légère hésitation qu'elle eu avant de bondir en avant. A présent qu'il y pensait il n'en était plus vraiment sur. "qu'est-ce qui m'arrive ? je me raconte des histoires...non? ce n'est pas parce qu'elle a hésiter à se lever...je suis complétement stupide...ne pensons plus à ça" se sermona-t-il avant de remarquer que la guerrière l'attendait.
-Tu viens?
Lorsqu'elle le regarda, Griffe Sombre remarqua que le soleil pâle créait des reflets légerement dorés dans ses yeux bruns. Il les regarda jouer comme des étincelles dans sont regard. Puis le soleil fut caché par un nuage et l'illusion se dissipa.
Griffe Sombre secoua la tête pour remettre de l'ordre dans ses pensées. Il fut presque énervé de s'être emporter de cette façon dans la considération des yeux de la guerrière tigré. Il espéra tout de même qu'elle n'avait pas remarqué l'ombre qui était passée dans ses propres yeux. Il se releva doucement à son tour et se plaça à côté d'elle.
- Allons-y ! lança-t-il d'une voix, qui,il en était sur, était aussi joyeuse que celle de Pelage de Brindille.
Il marcha un peu dans la neige blanche puis remarqua un petit animal qui avançait sur celle-ci. Le minuscule museau pointu de la musaraigne remuait rapidement. Elle ne les avait pas sentit, car ils étaient contre le vent.
Griffe Sombre s'aplatit contre le sol, ne quittant plus le rongeur des yeux. Il était complétement immobile, évitant même de bouger les moustaches.

[t'inquiétes...moi non plus je n'ai pas des masses d'inspiration, là...^^]

Lorsque je lui avais lancé l'invitation à me suivre, Griffe Sombre ce n'était pas lever tout de suite. Il me regardais, plutôt. Intensément. Je me sentis gênée tout à coup. Avait-il remarqué que je le fixais juste avant? Ou avais-je quelques choses dans les moustaches? Je dois me faire des idées.Après un rapide coup d'oeil, je ne remarquai rien. Le soleil était haut dans le ciel mais un nuage le cacha. C'est à ce moment que Griffe Sombre secoua la tête, l'air quelque peu énervé. Il se leva doucement et vint me rejoindre.
- Allons-y !
Je devais mettre fait des idées. Il ne m'avait sûrement pas observer aussi intensément que je l'avais vu, vu son ton enjoué. Par mes ancêtres, que se passe-t-il dans ma tête?!?

Je me levai et marchai à ses côté. Peu de temps après, Griffe Sombre s'immobilisa. Je l'imitai. Il avait vu une musaraigne. Je ne bougeai plus, le laissant avancer seul, pour que je n'effraie pas la petite bête. Je vis Griffe Sombre s'immobiliser de nouveau. Il ne bougeait plus. Seul sa respiration le faisait bouger.

Griffe Sombre s'applatit encore un peu plus sur le sol. Toute son attention était dirigée vers un seul et même point : sa proie. Il s'aprêta à bondir...
...et retomba sur la musaraigne, qu'il immobilisa avec ses griffes, avant de lui donner rapidement le coup de grâce. Tout s'était déroulé en un éclair, mais Griffe Sombre avait une fois de plus ressentie cette sensation merveilleuse qu'il éprouvait lorsqu'il chassait. Plus rien n'importait alors. Il releva la tête vers Pelage de Brindille, satisfait. Il n'avait pas cherché à impressioner la guerrière, cependant il retirait une certaine fierté du petit exploi qu'il venait d'accomplir.

- Voilà pour une proie...Je pense que je vais l'enterrer ici avant de la récupérer plus tard pour la ramener au camp...La prochaine sera pour moi.
Il essaya de ne pas trop laisser transparaître dans sa voix sa satisfaction car il avait peur que Pelage de Brindille prenne cela pour du mépris envers ses talents de chasseuse.
Il était persuadé que ce serai bientôt à son tour de l'impressioner. Comme il l'avait annoncé, il recouvrit soigneusement la petite bête de neige tout en jetant à la dérobée un coup d'oeil à Pelage de Brindille.

J'observai Griffe Sombre s'aplatir sur le sol. Toute son attention était tourné vers la proie. Il bondit rapidement et retomba sur sa proie, qu'il immobilisa et lui donna le coup de grâce. C'est un très bon chasseur, remarqua-t-elle, impressionnée. Je remarquai une petite lueur de satisfaction dans ses yeux. C'est normal, pensais-je, moi-même je suis si fière lorsque j'attrape mes proies. De plus, à cette saisons, ce n'est pas la même chose qu'à la saison des feuilles vertes.
Je le regardai poser sa proie au sol.
- Voilà pour une proie...Je pense que je vais l'enterrer ici avant de la récupérer plus tard pour la ramener au camp...La prochaine sera pour moi.

Je le regardai en souriant, pendant qu'il recouvrait le petit corps de neige.
- Bien joué, Griffe Sombre !! lançai-je. Tu es un très bon chasseur et tu as une très bonne position de chasse, rajoutai-je, sans pouvoir cacher que j'étais impressionnée.
C'était rare qu'un félin pouvait m'impressionner. Et lui ne cherchait pas cela, il cherchait seulement à attraper la musaraigne.

Je m'approchai de Griffe Sombre et lui donnai un coup de museau pour le féliciter. Je m'attardai un peu trop longtemps. J'espère qu'il ne s'en rendra pas vraiment compte, pensais-je, soudain gênée.


- On va continuer, on trouvera peut-être autre chose.

Je commençai à m'éloigner, fouillant la neige de mon museau et guettant le moindre signe de vie. Griffe Sombre était toujours derrière moi. Il ne vient pas? pensais-je en relevant la tête et en tournant mon regard vers lui.

Alors qu'il recouvrait la musaraigne de neige, Griffe Sombre vit que Pelage de Brindille souriait.
- Bien joué, Griffe Sombre !! lança-t-elle. Tu es un très bon chasseur et tu as une très bonne position de chasse
Griffe Sombre cru remarquer dans son regard qu'elle était impressionée. Il s'en sentit très flatté et aurait voulu répondre. *Je devrai lui dire quelque chose comme "non je ne suis pas si bon que ça, c'est cette musaraigne qui était lente..." non, trop prétentieux.. pourquoi pas "ce n'était pas si facile que ça" pitoyable..."j'adore chasser"...stupide...*
Il optait pour la solution la plus simple : ne rien dire, lorsque Pelage de Brindille s'approcha de lui et donna un coup de museau. Il lui sembla qu'elle restait un peu plus de temps qu'il ne l'aurai fallut. Non, il devait l'avoir imaginé.

- On va continuer, on trouvera peut-être autre chose.

Elle avait déjà commencé à s'éloigner, et il la vit fouiller la neige, paraissant guetter une autre proie.
Griffe Sombre était toujours immobile, l'observant, pensif. Eprouvait-il quelque chose pour Pelage de Brindille ? Il admira à nouveau les pâle reflets du soleil sur sa fourrure tigré.
Soudain, elle se retourna et le regarda. Il détourna aussitôt ses yeux, pour ne pas lui montrer qu'il la dévisageait quelques secondes auparavant.

Lorsque je levai mon regard vers lui, il détourna les yeux. Il était toujours immobile et je m'assis pour l'observer. Pourquoi a-t-il détourné le regard? Il avait l'air...gêné. Oui c'est ça, gêné! Mais pourquoi.
Je m'approchai de nouveau du matou et lui demandai:
- Tu viens?
Je continuai:
- Il faudrait avancer si on veut trouver quelque chose, lança-t-elle avec un sourire espiègle.
Je commençai à lui tourner autour, pour l'agacer.
Soudain, rapide comme l'éclair, je lui sautai sur le dos, le faisant basculer dans la neige. Je me relevai en riant.
- Allez viens!

Je commençai à m'éloigner, en riant toujours.
Soudain, je m'immobilisai. J'avais cru apercevoir quelque. Non, ce devait être le reflet du soleil. Je continuai à avancer doucement. Et là ! Ce n'était pas le reflet du soleil! Non! C'était une petite souris, qui marchait dans la neige, cherchant quelque chose à ce mettre sous la dent.
Aussitôt, je m'aplatis au sol. Je m'avançai plus près pour pouvoir bondir sur la souris. Lorsque je fus assez proche, je m'apprêtai à bondir et ensuite... Je bondis! Mais, au lieu d'attérir sur ma proie, je m'étalai de tout mon long.
Je me retournai.
-Hey! Griffe Sombre, c'est pas du jeu! lançai-je, contrariée, mais avec une étincelle espiègle dans mon regard.
Il m'avait tenu la patte sans que je m'en rendre compte. Pourtant, j'aurais dût sentir son contact sur ma patte. Mais non! Trop concentrée sur la souris, je n'avais rien sentis. Quel cervelle de souris je fais!

Joueuse, je me jetai sur lui.

Griffe Sombre espéra qu'elle n'avait pas vu son regard sur elle. Quoi qu'il en soit, elle revint vers lui demanda:
- Tu viens? Il faudrait avancer si on veut trouver quelque chose
Le sourire espiègle qu'elle lui lança pour ponctuer cette dernière réplique le rendit d'humeur légère. "La vie est belle, la la la !!" Il aimait la lueur dans ses yeux lorsqu'elle souriait ainsi. Il aurait pu contempler cette lueur des lunes entières.
Elle se mit à lui tourner autour, comme pour l'agacer gentillement. Il sourit à son tour, amusé. Tout à coup, elle lui sauta sur le dos. Elle avait été si rapide qu'il ne l'avait pas vue venir.Surpris, il tomba dans la neige. Son rire retentit comme des gouttes de pluie cristallines lorsqu'elle se releva.
- Allez viens!

Alors qu'elle s'éloignait, il pouvait encore entendre son rire. Agacé, il se releva à son tour. Que pouvait-il bien faire ? "Elle va bien voir, moi aussi je peux la faire tomber !"songea-t-il, avec amusement.
Il décida d'attendre le bon moment. Celui-ci vint vite : elle s'était immobilisée de nouveau. Elle avait surement aperçu une proie. Oui! En effet, la guerrière fixait une petite souris, qui trottinait sur le sol blanc. Griffe Sombre continua de l'observer, tout en se rapprochant sans faire de bruit. Elle s'était aplatie contre la neige froide. Alors qu'elle avançait plus près plus près de la souris, alors qu'elle aprochait de son but...
...à l'instant où elle bondis, Griffe Sombre appuya sa patte contre la sienne, et elle s'étala de tout son long.
-Hey! Griffe Sombre, c'est pas du jeu! lança-t-elle en se retournant.
Elle paraissait contrariée, mais il vit qu'elle lui lançai un regard espiègle, aussi espiègle que le sourire qu'il avait tant aimé.
Il éclata de rire lorsqu'elle se jeta sur lui, et ils roulairent tous deux dans la neige blanche, sans se soucier du froid sur leur fourrure.
- Si, c'est du jeu ! lança-t-il en riant

Griffe Sombre éclata de rire lorsque je me jetai sur lui. Nous roulions tous les deux dans la neiges, sans se soucier du froid qui nous parvenait au travers de nos fourrure, lorsqu'il lança en riant:
- Si, c'est du jeu !
J'échappai à son emprise pour m'écrier:
- Alors, si c'est du jeu... commençai-je avant de me jeter sur lui de nouveau, les griffes rentrer, tu vas voir ce que tu vas voir !

Nous ressemblions à des petits ou à des apprentis qui se battaient pour s'amuser, devant la pouponnière ou leur tanière. Cependant, nous étions des guerriers, mais rien ne nous empêchaient de rajeunir pour quelques instants.
La neige voletait autour de nous, bientôt rejointe par la neige que nous projetions en nous battant. La neige blanche recouvrait nos fourrure brune, dans mon cas, et noir, de Griffe Sombre.
Je commençai à être essoufflée. Nous nous battions pour s'amuser depuis quelques minutes déjà, sans jamais cesser.
Je me dégageai des pattes de Griffe Sombre et me reculai de quelques pas. Je secouai mon pelage pour le débarrasser de la neige qui l'encombrait et je m'assis devant mon ami, pour reprendre mon souffle, parfois secouée de petit gloussement.
Je levai la tête vers lui et le regardai. Avec son pelage noir consteller de neige blanche, il était encore plus magnifique.
- Ça va? lui demandai-je.

Pelage de Brindille s'échappa de l'emprise de Griffe Sombre :
- Alors, si c'est du jeu...
A cet instant, elle se jeter sur lui à nouveau,en rentrant bien sur les griffes ,
tu vas voir ce que tu vas voir !

Il tenta de se relever, n'y parvint pas, et ils roulèrent sur le sol.
Griffe Sombre avait la sensation d'être redevenu un chaton...Ces longues batailles fictives avec d'autres petits lui revinrent en mémoire..."Que de nostalgie et que de souvenirs...(voilà que je devient sentimental...)" Ces longs jeux joyeux qu'il avait vécu devant la pouponnière...Cela faisait longtemps qu'il ne s'était pas battu ainsi, dans le seul but de s'amuser. Il rajeunissait, s'imaginant être retombé en enfance, avoir retrouvé sa vie de petit ou d'apprenti pour quelques instants.
Des flocons de neige, pareils aux bribes des souvenirs, virevoltaient autour d'eux. Griffe Sombre senti bientôt la neige recouvrir son pelage noir et le celui, brun de Pelage de Brindille.
Les minutes passaient, sans qu'il s'en rende compte, et il aurait tout fait pour que ce moment ne se termine jamais. Mais il commençai à sentir son souffle devenir plus rapide, et bientôt ils durent s'arrêter, fatigués.
Pelage de Brindille se dégagea de lui et se recula de quelque pas. Il admira sa souplesse lorsqu'elle s'ébroua pour ôter les flocons blancs qui parsemaient sa fourrure brune. Puis, il la vit s'asseoir face à lui, et il reprit en même temps qu'elle son souffle. Par moment, l'écho du rire qui les avaient secoués retentissait encore dans ses oreilles. Il entendait par intermittence les petits gloussements de Pelage de Brindille, bribe de ce rire qui lui restait encore.
Elle avait levé la tête vers lui et il senti son regard sur son pelage noir étoilé de neige blanche.
- Ça va? demanda-t-elle
Il se secoua à son tour, faisant à nouveau voler la neige autour de lui, puis se rassit et pencha un peu la tête sur le côté pour l'observer. Il contempla la belle fourrure de la guerrière, à présent piqueté de petites gouttes de neige fondue. Puis il lui répondit, doucement :
- Oui...ça fait longtemps que je ne m'étais pas amusé comme ça, tu sais.

Je regardai Griffe Sombre secoué la neige de sa belle fourrure noir. Il s'assit à son tour face à moi et il pencha la tête de côté, presque nostalgique.
- Oui...ça fait longtemps que je ne m'étais pas amusé comme ça, tu sais.

Je comprenais très bien ce qu'il voulait dire. Étant guerrier, les moments de jeux n'étaient plus. C'était plutôt les patrouille, la chasse, le partage, le sommeil... la routine... Les entraînements de son apprenti si on en avait un, ce qui n'était pas mon cas ni celui de mon camarade de jeu. Parfois, des batailles éclataient, on devait combattre pour sauver notre clan des griffes des ennemis, ensuite se faire soigner, patrouiller, chasser, manger, dormir...
Je poussai un soupir et penchai moi aussi la tête, imitant le guerrier en face de moi, sans m'en rendre compte.

Je relevai la tête et observai le ciel. Le soleil allait bientôt commencer à décliner. Il faudrait peut-être attrapé une autre proie et aller chercher celle que Griffe Sombre avait attrapé plus tôt.

En écho à l'affirmation du guerrier fait juste avant, je murmurai:
- Sa fait longtemps que je ne m'avais pas autant amusée, moi aussi.

Je me levai et m'approchai du guerrier noir. Je m'assis à son côté, mon pelage frôlant le sien, et j'entortillai ma queue avec la sienne.
- Il faudrait peut-être penser à rentrer et aller chercher la proie que tu as attrapé plus tôt. On va peut-être dénicher quelque chose d'autre à chasser, sur le chemin du retour.

Toutefois, je ne me levai pas, ne voulant pas briser cet instant si calme et si serein.

Pelage de Brindille poussa un soupir puis pencha elle aussi la tête, imitant l'attitude de Griffe Sombre. Celui-ci la trouva belle ainsi, silencieuse, et vit qu'elle comprenait parfaitement la nostalgie qu'il ressentait.
Puis, Pelage de Brindille releva la tête, observant le ciel. Griffe Sombre leva les yeux vers le haut, à son tour. Le soleil terminerai bientôt sa course pour disparaître derrière l'horizon. Il allait commencer à faire sombre. Griffe Sombre entendit la guerrière murmurer :

- Sa fait longtemps que je ne m'avais pas autant amusée, moi aussi.
Elle s'était levée, et à présent s'approchait de lui. Une fois assise à ses côté, (et Griffe Sombre pouvait sentir sa fourrure contre lui) elle entortilla sa queue avec la sienne.

- Il faudrait peut-être penser à rentrer et aller chercher la proie que tu as attrapé plus tôt. On va peut-être dénicher quelque chose d'autre à chasser, sur le chemin du retour.
Lorsque Griffe Sombre entendit ces paroles, il ne bougea pas pour autant. Elle non plus. Ils restèrent quelques instants ainsi, le temps semblant s'être arrêté. Griffe Sombre n'entendait plus que le bruit de leur respiration, à l'unisson.
Finalement, il se leva, à regret. Il avança lentement, comme sortant d'un rêve, vers l'endroit où il avait enterré sa proie. Se guidant à l'odeur, il finit par la retrouver. Ils s'était tout de même bien éloignés de ce lieu initial. Ou peut être était-ce juste une impression ?
Pensif, il gratta délicatement la neige de ses pattes, puis en déterra la musaraigne.

- On peut y aller. J'espère qu'on dénichera quand même autre chose.
Dit-il avant de prendre sa proie dans sa gueule et de se tourner vers Pelage de Brindille

Griffe Sombre ne bougea pas non plus. Quelques minutes passèrent lorsqu'il se leva, à regret. Je le regardai s'éloigner pour aller chercher sa proie et je l'attendis. Se tournant vers moi, il me dit:
- On peut y aller. J'espère qu'on dénichera quand même autre chose
Je le regardai prendre sa proie dans la gueule et s'avancer vers moi. Je le suivis et me mis à son côté.

En marchant silencieusement, je regardais partout autour de moi pour essayer d'apercevoir une proie. Griffe Sombre pourrait voir une proie, mais ne pourrait pas la sentir, à cause de celle qu'il portait.
En marchant, je sentais la fourrure du guerrier noir contre la mienne. Nos pas s'étaient synchroniser sans même nous en rendre compte. Nous marchions dans la lumière déclinante lorsque je m'arrêtai.
Oui, là! Une petite souris!
Je m'accroupis et pris ma position de chasse.
Je m'avançai doucement. La souris ignorait ma présence car le vent était en ma faveur. Rendu à une bonne distance pour attraper la proie, je bondis et l'attrapai. J'achevai la souris en donnant un bon coup de dent.
Je pris la souris entre mes mâchoires et retournai rejoindre Griffe Sombre qui m'attendait. Je posai la souris par terre.
- On a dénicher une souris, lui dis-je en souriant, fière de mon coup, car cette fois je l'avais attraper sans que Griffe Sombre retienne ma patte. On peut toujours regarder si on trouve quelque chose d'autre sur le chemin du camp, mais on arrive bientôt.

Je repris la souris dans ma gueule et je passai ma queue sur le flanc du guerrier avant de lui en donner un petit coup sur le museau. Je recommençai à marcher, les yeux espiègles. À quelques pas de lui, je m'arrêtai et l'attendit.

Griffe Sombre vit Pelage de Brindille se mettre à ses côtés et ils marchèrent en silence. Le guerrier vit du coin de l'oeil que Pelage de Brindille observait tout autour d'elle, essayant de trouver une proie. L'odeur de sa propre proie emplissait les narines de Griffe Sombre, lui embrouillant les sens.
Il pouvait sentir la fourrure de la guerrière contre la sienne. Ils marchaient du même pas, en parfaite synchronisation. La lumière déclinait lentement. Soudain, Pelage de Brindille s'arrêta et se mis en position de chasse. Il la vit s'avancer doucement vers sa proie puis bondir vers elle et l'attraper. Il admira son habileté et sa rapidité lorsqu'elle acheva la petite bête d'un coup de dent. Puis elle pris le souris entre ses crocs et retourna vers lui. Posant la proie par terre, elle dit :
- On a dénicher une souris, lui dit-elle souriant fièrement. En effet, cette fois, il ne l'avait pas empêcher d'atteindre son but !
On peut toujours regarder si on trouve quelque chose d'autre sur le chemin du camp, mais on arrive bientôt.

Elle avait reprit la souris dans sa gueule et passai à présent sa queue sur le flanc de Griffe Sombre. Il frissonna quand elle lui donna un petit coup sur le museau, mais elle repris sa marche. A une queue de renard de lui, elle s'arrêta pour l'attendre.
Il eut un sourire doux. Il aimait cette manière espiègle d'être, cette manière qu'elle avait de le regarder, malicieuse.
- Tu chasse vraiment très bien...dit-il dans un murmure. Il n'était pas sur qu'elle l'ai entendu.
Il avança vers elle rapidement. Leurs pas commençaient à les rapprocher du camp. Déjà ? Griffe Sombre ne voulait pas que ce moment cesse. Il ne voulait pas rentrer. Non, il aurait voulu errer gaiement avec Pelage de Brindille, jouant comme des apprentis, à travers les territoires du Clan de l'Ombre. Mais c'était impossible, bien sur...

Je marchais devant Griffe Sombre. Cependant, avant de me suivre, je crus l'entendre murmurer que je chassais très bien, mais je n'étais sûre d'avoir bien compris. Il vint me rejoindre et, tout en marchant en silence, à cause des proies que nous tenions entre nos mâchoires, je songeais à sa façon de me regarder. Je dois être en train de devenir folle, pensais-je. Je dois halluciner. Il ne me regarda pas comme sa...ou si? Indécise, je secouai la tête, lâchant par la même occasion ma proie, qui alla se cogner sur le guerrier sombre.
- Désolé, murmurai-je, gênée de ma gaffe.

Je me penchai et repris ma proie, me promettant de ne plus me laisser emporter par mes pensées. Oh là là, que dois penser Griffe Sombre? Que je ne suis pas capable de tenir une proie? J'étais gênée par cette simple pensée.

Nous marchions toujours en silence, lentement, presque comme si nous ne voulions jamais arriver au camp. Cependant, il fallait que je me rendre à l'évidence: nous n'avions pas le choix de rentrer au camp, on ne pouvait tous simplement pas rester indéfiniment ici.

Nos pas nous menaient vers le camp. Encore quelques longueurs de queue et nous allions arriver. Il fallait que je me décide avant d'arriver. Allais-je lui dire ce que je ressentais pour lui, maintenant, ou devrais-je attendre, de peur qu'il s'enfuit en courant?
Finalement, alors que nous arrivions presque au camp, je pris ma décision. J'allais attendre un peu encore... Peut-être avais-je simplement peur de sa réponse... Peut-être que non... Peut-être que oui... Quoi qu'il en soit j'allais attendre. Ou pas.

- euh... commençai-je, incapable d'aligner quelque chose. Je... Tu... euh... continuai-je en bafouillant. Gênée, je me tus.

Alors qu'ils marchaient en silence, Griffe Sombre jeta à la dérobé un regard à Pelage de Brindille. Elle semblait en pleine réflexion. Il retourna à ses propres pensés « il faut se rendre à l'évidence mon petit Griffe Sombre, tu te rends bien compte de la manière dont tu la regarde non ? J'espère quand même qu'elle n'a rien remarquer...Est-ce que je dois lui dire quelque chose ?...oui mais quoi ?... » Il sursauta lorsque, tout à coup, la proie de la guerrière vint cogner contre lui. Surpris, il lui lança un regard étonné.
- Désolé, murmura-t-elle, comme gênée.

Elle se pencha pour reprendre sa proie. «  aie aie aie... je suis sûr qu'elle s'est rendu compte de quelque chose...c'est pour ça qu'elle a lâché sa proie...mais quel imbécile je suis !... » songea-t-il, furieux contre lui-même.
Malgré leur marche lente, seules quelques longueurs de queue les séparaient à présent du camp. Griffe Sombre pouvait percevoir que la guerrière, autant que lui, aurai voulu ne jamais rentrer. Pourtant, il savait bien qu'ils ne pouvaient pas rester là à l'infini.
Ce moment ne pouvait pas se terminer ainsi. Il fallait qu'il lui parle, qu'il dise quelque chose, quoi que ce soit.... « Peut être que je suis désolé de l'avoir regarder ainsi, que je ne voulais pas la troubler, que c'était entièrement de ma faute si elle a lâché cette fichu proie...Non c'est ridicule. Pelage de Brindille... »
Ils était à présent presque au camp, et Griffe Sombre était tenaillé entre deux possibilités « lui dire, ne pas lui dire, lui dire, ne pas lui dire, lui dire.... » Il fallait croire que la seconde l'emportait. Alors qu'il ouvrait la bouche, près à parler, ce fut Pelage de Brindille qui prit la parole.

- euh... commença-t-elle, curieusement hésitante,  Je... Tu... euh... continua-t-elle presque bafouillante.
Les yeux pleins de gêne, elle se tut.
Il ne savait pas ce qu'elle voulait lui dire, ou peut être faisait semblant de ne pas le comprendre. Dans le doute il décida de prendre les devants :
- Pelage de Brindille..tu sais je...
Il se tut à son tour. Il était stupide. Peut être voulait-elle seulement lui dire des paroles aussi banales que "on est presque arrivés..." A présent, il ne savait plus que faire pour achever sa phrase.
Il opta pour la solution la plus idiote :
- Pelage de Brindille...euh...on est presque arriv...
Il s'interrompit au beau milieu d'un mot. Mais qu'était-il en train de fabriquer ??

Aїe Aїe Aїe! Espèce de cervelle de souris. Que suis-je en train de faire? Oh là là! J'aurais dût me taire au lieu de bafouiller. Oh non! Il va pensé que je suis cinglé et que je suis incapable d'aligner deux mots.
J'étais vraiment contrarié et en colère contre moi. Je ne remarquai donc pas dans quel état Griffe Sombre était.
- Pelage de Brindille..tu sais je...

Je tournai la tête, surprise. Même lui hésitait à parler. Étrange. On était tout les deux incapable de dire le fond de nos pensées. Et s'il commençait à ressentir ce que je commençais à ressentir envers lui? Ou si c'était plutôt pour me remettre sur le droit chemin? Ou si c'était seulement pour me faire remarquer qu'on arrivait au camp? Ou si....?

J'allais lui demander ce qu'il voulait me dire lorsqu'il continua:
- Pelage de Brindille...euh...on est presque arriv...

Il n'acheva pas sa phrase, ne finissant même pas son mot. Ces mots passaient et repassaient dans ma tête. Oh non, gémis-je intérieurement, il voulait simplement me dire qu'on arrivait, pas.... oh non... Heureusement que je n'ai rien dit, je me serais complètement ridiculisée.

Je continuai à marcher à ses côté en direction de l'entrée du camp. Soudain, je pris ma décision. Peut-être vais-je me ridiculiser, peut-être que non, je n'en sais rien. Cependant, je ne peux pas vivre tourmentée. Je vais lui dire même si sa le fait fuir en courant, je vais...

Je m'arrêtai brusquement et me tournai vers Griffe Sombre.

- Griffe Sombre, commençai-je. Je dois... Je dois te dire que... et bien.... je... je t'aime bien.... tu sais...

Je détournai la tête et regardai en direction du camp.

Griffe Sombre s'était à peine interrompu mais il vit imédiatement dans quel état ses paroles avaient mis Pelage de Brindille.
"Mais quel imbécile !!...qu'est-ce que je vais bien pouvoir dire maintenant pour me rattraper ? j'aurai vraiment dû ne rien dire...ma stupidité l'a gênée..."
Ils continuaient à marcher vers l'entrée du camp. Soudain, la guerrière s'arrêta brusquement et se tourna vers lui.
Qu'allait-elle lui dire ? S'était-il ridiculisé à ce point ?

- Griffe Sombre, commença-t-elle. Je dois... Je dois te dire que... et bien.... je... je t'aime bien.... tu sais...
Puis elle détourna aussitôt la tête et regarda en direction du camp.
Griffe Sombre était comme paralisé. Puis l'engourdissement qui s'était emparé de ses pattes s'évanouit et il se rapprocha d'elle doucement, tentant de capter son regard. Ses yeux bleus finirent par rencontrer ceux, bruns, de la guerrière.
Il murmura, regrettant au fur et à mesure qu'il les prononçait ses paroles, certain d'avoir l'air totalement stupide :

- Pelage de Brindille...moi aussi je t'aime...commença-t-il

Le "bien" se coinça dans sa gorge, refusant obstinément d'en sortir.
"non, non, non...au secours ! j'ai tellement peur de ce qu'elle pourrait me répondre....j'espère qu'elle a cru entendre le dernier mot, celui que je n'ai pas prononcé...Qu'est-ce qu'elle va penser de moi sinon ?!"
Il détourna, à son tour, le regard, pour en dissimuler la honte.
"j'aurai mieux fait de me taire, j'aurai mieux fait de me taire...."
A présent il ne pouvait plus rien dire : s'il disait "bien", à supposer que Pelage de Brindille ai déjà cru l'entendre, elle se demanderait pourquoi il le répétait...

J'étais tellement gênée et j'avais tellement peur de la réaction de Griffe Sombre que je continuai à fixer le camp. Soudain, j'entendis des pas derrière moi. Et voilà... Il s'en va... Pourquoi a-t-il fallu que je parle...?
Quel fut ma surprise quand, lorsque je tournai la tête pour observer Griffe Sombre, il était près de moi, son regard cherchant le mien. Mon regard brun rencontra son regard bleu. J'allais m'excuser de mes paroles lorsqu'il commença:
- Pelage de Brindille...moi aussi je t'aime...

Ce fut tout ce que j'entendis, car la suite s'étrangla dans la gorge. Il semblait hésiter à dire autre chose. J'ignorais quoi. Il se détourna, comme je l'avais fais plutôt. Je m'approchai plus près et lui donnai un coup de langue sur la joue.
- Moi aussi, Griffe Sombre, je t'aime.

J'entortillai ma queue à la sienne, cherchant son regard bleu. Voilà, c'est dit... oh là là, il l'a bien prit... je ne me suis pas ridiculisée... je n'en reviens toujours pas... il ressent ce que je ressens pour lui... Quelle joie !

J'étais si heureuse. Finalement, j'avais bien fait de ne pas attendre pour le lui dire. Je me serais torturée pour rien tandis qu'il partageait mes sentiments. Je commençai à ronronner de bonheur, ma queue toujours entrelacer à la sienne.

J'observai le guerrier à la dérobé, attendant qu'il tourne la tête vers moi. J'avais les yeux brillant de joie.

Finalement, cette déclaration n'avait pas été mal.

Alors qu'il se maudissait, Griffe Sombre eu la surprise de sentir soudain un coup de langue contre sa joue. Il hésitait encore à tourner la tête vers Pelage de Brindille, craignant un retournement de situation. Cependant, il entendit sa voix douce près de son oreille :

- Moi aussi, Griffe Sombre, je t'aime.

A ces mots , elle entortilla sa queue à la sienne. Il devina qu'elle chercher son regard mais il n'osait toujours pas la regarder. "elle a bien dit...? j'ai vraiment...? elle m'a dit...?"
A l'intérieur même de son esprit, il peinait à formuler des idées concrètes. Quoi qu'il en soit, une chose était sure : il planait de bonheur. Il n'avait pas été ridicule, il ne l'avait pas vexée, elle ressentait la même chose que lui...
Après tout, ce n'était pas plus mal qu'il ne soit pas parvenu à terminer sa phrase. Ses mots avaient dit pour lui ce qu'il pensait vraiment. Il avait bien fait de dire quelque chose, de ne pas attendre. A ses côtés, Pelage de Brindille commença à ronronner de bonheur, sa queue toujours entrelacée à la sienne. Il frissona et tourna enfin la tête vers elle, plongeant son regard dans le sien.
Elle avait les yeux brillant de joie. Il lui sourit, enfin serein. Il contempla ses yeux bruns, dans lesquels le soleil couchant faisait miroiter ses derniers reflets. Il se serra contre elle, ronronnant à son tour, ayant encore peine à croire à ce qu'elle venait de lui dire.
Il se sentait comme dans un rêve. Le temps pourrait s'écouler, il ne bougerai pour rien au monde. Il ne parlait pas, se contentant de l'admirer.
"Finalement...je ne suis pas totalement stupide..."

J'attendais toujours. Il ne se tournais toujours pas vers moi, ne me regardait pas. Et si je l'avais brusquer finalement? Je commençais à être inquiète, même s'il m'avait dit qu'il m'aimait.
Tout à coup, je le sentis frissonnai contre moi et il se retourna, me regardant. Nos regards se croisèrent et nous plongeâmes dans les yeux l'un de l'autre. Enfin! Qu'il a de beaux yeux, Griffe Sombre...

Ses yeux dans les miens, il se serra contre moi, ronronnant à son tour. J'étais heureuse. Nous nous étions déclaré même si nous nous connaissions plus en profondeur que depuis que nous revenions du chemin du tonnerre, ce matin. Enfin, nous avons trouvé le bonheur, c'est tout ce qui compte.

Toujours contre Griffe Sombre, je ne voulais pas rentrer au camp. Cependant, il fallait s'y résoudre. De toute façon, nous allions pouvoir être souvent ensemble. Soupirant doucement, je murmurai:
- Il faut rentrer, maintenant. On a pas le choix.

Je me levai et marchai en direction de l'entrée du camp. Je passai par l'entrée et une fois dans le camp, attendis que Griffe Sombre passe l'entrée.

(Pas trop d'inspi...)

Toujours contre Pelage de Brindille, Griffe Sombre entendit celle-ci murmurer, soupirant :

- Il faut rentrer, maintenant. On a pas le choix.

Elle se leva et marcha vers l'entrée du camp. Une fois passée l'entrée, elle l'attendit qu'il la rejoingne
Griffe Sombre se déplaça vers elle rapidement. Elle avait raison, ils fallait bien qu'ils rentre au camp un jour.
Arrivant à sa hauteur, il lui sourit une nouvelle fois, l'admirant encore une fois. Il pouvait voir le beau pelage brun de la guerrière, ce beau pelage tigré. Il contempla tendrement ses yeux bruns aux reflets qu'il trouvait si particuliers.
"tout s'est tellement bien passé...je n'aurai jamais cru pouvoir lui dire si tôt. Et dire qu'il y a si peu de temps nous étions près du chemin du Tonnerre, en tant que simple camarade de clan. Peu importe...je nage dans le bonheur..."
Il sourit de la naiveté de cette dernière phrase. "je nage dans le bonheur..."Après tout, c'était exactement ce qu'il ressentait...
Toujours souriant, il se placa au côté de la guerrière. Oui, ils étaient rentrés.


(idem.)

(Petite question... ce rp vient-il de ce terminer? De la façon que tu la écrit, je dirais que se serait la fin du rp... Faudrait en faire un autre a un endroit, un autre moment si tu veux... )

(yep, je le sentais bien comme une fin de rp. Je suis tout à fait d'accord pour en faire un autre, mais pas trop long.)

(On est pas obliger de le faire tout de suite.. et pas trop long, comme tu as dit. On peut attendre a un autre moment. Moi, je préférais qu'on attende, car puisque que la fin de la deuxième étape de mon école approche, je suis dans les examens jusqu'au cou, car j'en ai encore 7 à faire et donc, je dois étudier, étudier, étudier et... étudier ! Pas super, super. )