Une belle Journée.

J'humât l'air et senti une odeur de chat dans les environs. Je me demandais qui était ce chat car je ne connaissais pas cette odeur, il devait être solitaire ou quelque choses comme ça. Je me dirigeai dans sa direction et trouva une jolie chatte noir et blanc aux yeux couleur menthe a l'eau. Nous nous regardions perplexe.
Je me demandai d'où elle venait. Je finit par lui dire :
"Bonjour. D'où tu viens, je ne t'ai jamais vu ici. Ca va?"
Elle venait apparemment juste de finir de manger une proie ou alors le gibier abondait ici.
Elle me regardait toujours d'un oeil sournois mai chaleureux.
Puis elle me répondit :

Elle me demanda d'où je venais et qui j'était. J'eu un sourire interieur. Elle venait apparament du clan du tonnerre et j'avais déjas tuer là-bas. Ils avaient tous pris peur. Moi et Sanglou, on faisaient un tabac !! Je me demandais si ma célébrité s'était agrandie, si les reine parlaient à leur chatons des "Redoutable Coeur De sang et Rosée d'un Jour". Cette pensée me fit tout autant sourire quelle me fit de peine. Après tout, je n'était plus la même, j'avais évoluée, contrairement a Coeur de Sang. Heureusement pour elle, je ne tuais plus pour le plaisir. Juste par nécéssité. Alors je lui répondis;

-Je suis Rosée d'un Jour. Guerrière libre. tu as surement déjas entendu parler de moi.

Moi voix était asser intimidante mais pas méchante. Je lui souris. Elle se crispa.

Je me crispai en comprenant qui elle était. Je la reconnu enfin. C'était Rosée d'un Jour, une sorte de Solitaire Sanguinaire qui avait un acolyte du nom de Coeur de Sang. Apparemment, ces sortes de chats ne pensait qu'a tuer, et de plus pour le plaisir. C'était les anciens du clan du Tonnerre qui faisaient peur au chaton en leur racontant que deux chats sanguinaires avait tuer plusieurs de notre clans. Mais cette chatte n'avait pas l'air si méchante, sa voix était intimidante mais pas pour autant méchante ou mal attentionnée. Je restait tout de même sur mes gardes et lui répondit d'un ton que je voulais convainquant et assuré :
"Oui, les anciens de clan parle de toi et d'un de tes compagnons. Je suis Poil d'Ecureuil, guerrière du clan du Tonnerre." Je me forçait a lui faire un sourire assez crisper. Et je lui demandait :
"Viens tu dans des intentions méchantes et sanguinaires pour mon clan ou pour moi, ou es-tu ici par gentillesse? Parce que si tu es là pour tuer je suis prête a combattre jusqu'à la mort pour mon clan. Mais si tu viens dans des intentions moins hostile et plus amicale, je te laisserai tranquille et nous pourrons être amies......"
Elle me répondit :
[Pas d'inspi! Désoler!]

Elle me répondit qu'on parlait de moi dans son clan et je ne pu retenir un gloussement de joie, assée peu vaillant, je doit l'avouer. Pui elle Me dit qu'elle se nommait Poils d'Ecureuil et me demanda si je venais avec hostilité ou non. Je soupira, la jeune génération était bien naïve. Comme si j'allais lui répondre
"Oui, je viens pour tous vous tuer, veux-tu bien de coucher là que je transperce le coeur?" Cette pensée m'aracha un sourire et une autra bourasque de vent souffla vers moi. Je cracha, elle? M'arrêter si je voulais tuer son clan?
Pff.. Elle n'était même pas née lors ce que j'eu tôt fait de tuer cette chaire à corbeaux de Coeur de Lison. Je ne répondt pas tout de suite a sa question, mais je voyais bien quelle lançait des regards insistants vers moi, afin que je daigne à lui répondre.

-Je ne suis ni venue pour vous exterminé ni avec de bonnes intentions. Que crois tu? Je bailla. J'était là pour manger petite, et sache que je ne suis pas cannibale.

Dis-je avec un ton amusé, puis an voyant ses yeux ou brillait l'inquiètude de savoir san clan en danger, je me sentie mal à l'aise.
Après tout, je n'avais rien a défendre moi, sauf peut-être moi même, mais contre quoi?

[Désolée, pourri u_u]

Je la regardais d'un regard insistant, plein de haine,de colère et d'inquiétude. Puis, par instinct, je sortit les griffes.
Par ce mouvement, je l'avais sur ces gardes. Je ne savais pas si elle allais m'attaquer ou s'il il fallait que je l'attaque.
Je restais donc la, mes griffes planter dans la terre, ne la quittant pas des yeux. Je voyais que elle aussi, elle commençais à sortir ses griffes et foncer sa truffe. Puis, je repensais aux paroles de notre guérisseur, qu'il ne fallait pas que je me batte, pour le besoin de mes futurs petits.
Je reprenait donc mon calme, rentrait mes griffes, dégonflait ma fourrure, et reculait doucement.
Puis, sans même lui adresser un mot, je lui tournais le dos, et sortit, la queue bien haute. Je marchais à allure constante, sans me retourner une seule fois. Puis, je me mis à courir, face au vent, ma fourrure rousse resplendissant au soleil. Puis, une fois hors de portée, je ralentissait et levais la truffe. Je n'allais pas rentrer les pattes vides au camp. Je m'acquittais donc à chasser. Je sentit presque aussitôt l'odeur d'une grive et d'un campagnol. Je repérait ce dernier et lui brisait la nuque d'un coup de dents. Je m'occupais de la grive de la même façon que le petit rongeur et la gueule pleine de bonnes odeurs d gibier fraîchement tuer, je rentrais au camp, alors que le soleil commençais déjà à se coucher.
Une fois arriver, je déposait mes prises, et allais me prélasser devant les derniers de soleil, qui passait encore entre les arbres.