Incertitude Éphémère ♥ Certy ♥ Modératrice à l'essais
Surnom : Certy Âge : 12 lunes Rang : guerrière Apprenti/Mentor : Étoile Solitaire qui ne l'ai plus mais qui le reste dans mon cœur État de santé : Bah ça c'voit pas ? J'ai un peu une GROSSE cicatrice sur l’œil droit ! A part ça, ça va !
Autres comptes : Éclat Pure Prénom : Suzanne Surnom du joueur : Suz Âge : 21 Humeur : Bof...
Feuille du félin Expérience : (10/150) Relationships : Projets du Félin :
| Sujet: Croc Lunaire Libre Pas fini pour l'instant ne posté pas 2014-07-08, 14:33 | |
| J'entendis un cri. Je venais de sortir d'un rêve étrange, ou plutôt un cauchemar mais qui bizarrement ne m'avait pas effrayé, il m'avait grandement intrigué en fait. J'étais seule, dans la forêt sombre que la froideur de la nuit rendit plus dangereuse et glacial que de jour pendant la saison des neiges. Un miaulement aigu retenti ce qui brisa le silence qui, pour l'instant, c'était rependu dans les alentours. Comme si quelqu'un venait de se faire étranglé, ça faisait froid dans le dos. Je sortie de la tanière des apprentis, me retourna et observa avec étonnement que j'étais la seule à avoir entendu un tel vacarme. M'enfin bon, j'étais à peu près sur que les guerriers avaient repérés le danger. Je courue jusqu'à la tanière des guerriers, tout le monde était endormi. Je commençais à m’inquiéter, je m'élança jusqu'à la tanière de mon mentor, elle était profondément endormie. Se pourrait-il que j'ai rêvé ? Cela expliquerait tout. Mais le cri commençait à devenir de plus en plus fort et se répétait continuellement. Je décida donc de réveiller Etoile Solitaire maintenant que je savais que se n'était pas mon "subconscient" qui avait inventé ce cri d'abomination. Mais, arrivée devant son antre, je ne pus la tirer de son profond sommeil. Je me retourna de cet air héroïque que j'aimais tant puis je pris la route de la rivière. Le cri se faisait entendre de plus en plus fortement. Je commençais à avoir peur, je reconnaissais la voix d'un chat mais pourtant je ne pouvais me dire que l'un de mes congénères pouvait pousser un tel cri démentiel. J'entendis un voix me criant de rebrousser chemin mais mes jambes continuaient d'avancer. Je passai devant la rivière, toujours personne, toujours cette voix et puis d'un coup, plus rien. Rien que le son de l'eau qui retentissait dans ma tête comme une berceuse. Je trébuchai, un caillou venait d'être lancé sous mes pieds. _Aïe ! criai-je la tête aplatie contre le sol. /!\ Veuillez ne pas supprimer ou déplacer ce poste je ne l'ai pas fini mais des événement m'oblige à le poster pour ne pas le perdre. | |
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