Douceur d'un Soir
Âge : 38 lunes Rang : Lieutenante |+| Administratrice folle à lier État de santé : Cicatrice de baptême, en bonne santé.
Autres comptes : Conte d'Hiver, Chant du Phénix & Poussière d'Orient Prénom : Maya Surnom du joueur : Soirou, Dousoir, Day's... Âge : 26
Feuille du félin Expérience : (24/150) Relationships : Projets du Félin :
| Sujet: Cours de Gee' 2012-02-17, 20:04 | |
| Welcome in my class, Gee' ! Alors. Je ne sais pas si tu es déjà sur les pistes de ski, donc on va commencer par quelque chose d'assez basique et de pas trop compliqué pour voir ce que tu es capable de faire avec un sujet donné comme ça.Bon, vu que tu vas bientôt partir en vacances je vais commencer par un truc pas trop dur, histoire de voir comment tu te débrouilles sur un sujet simple. Exercice n°1 : Une tempête de neige t'empêche de dormir calmement au chaud. Les bourrasques et chutes de grêlons contre la fenêtre t'exaspère. Tu finis par sortir de ta chambre, énervée. Le parquet grince. Est-ce un cambroleur ou ton père endormi ? Pourquoi as-tu le sentiment que les bourrasques sont le souffle d'un monstre inconnu ? Que vas-tu faire ? Astuces & Conseils : Evite les répétitions et écris ton RP sur word, comme ça pas de fautes de frappe et autres ! Concentre-toi sur les émotions, les bruits et la description du chalet endormi. But de l'exercice : Aucun, à part te tester ^^ Bonne Chance ! | |
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Goutte de Pluie
Surnom : Gee' Âge : 22 lunes Rang : Guerrière État de santé : Se la coule douce !
Autres comptes : Rose des Sables. Prénom : Gaëlle Surnom du joueur : Gee' Âge : 24 Humeur : Se la coule douce....
Feuille du félin Expérience : (27/150) Relationships : Projets du Félin :
| Sujet: Re: Cours de Gee' 2012-02-18, 11:01 | |
| J'étais dans ma chambre, blottie au chaud, enroulée dans ma couette. Je fronçai les sourcils, exaspérée par le bruit que faisaient les bourrasques de vent lorsqu'elles entraient en contact avec le toit du chalet. Quel boucan effroyable ! Je jetai un coup d'œil rapide par la fenêtre ; la tempête n'était pas prête de s'arrêter : le vent donnait l'impression d'être en colère contre nous. De plus, la grêle tombait du ciel en abondance ! Je me résidai à faire un tour dans la maison, sans cesse interrompue dans mon sommeil par ce déluge. J'enfilai mes chaussons et un pull bien chaud, et m'engageai dans le couloir silencieux. Je fis un tour rapide du chalet, vérifiant que la tempête n'avait rien dégradé. Rassurée, je me dirigeai vers ma chambre ; je comptai faire un peu d'ordinateur pour passer le temps. j'ouvris la porte, entra et alluma l'appareil. Je démarrai internet, et tapai ma recherche. Quand tout à coup, j'entendis le parquet grincer. Je me retournai, consciente que je n'avais pas imaginé ce petit bruit. Quelques petits craquements commencèrent par m'inquiéter. Y avait-il réellement quelqu'un dans le chalet, ou étais-ce seulement le fruit de mon imagination ? Lorsque je n'entendis plus rien, je recommençai à taper sur le clavier de l'ordinateur, les mains tremblantes. Je me retournai fréquemment pour vérifier si je n'entendais rien d'autre. Mais rien. Je me rassurai : cela devais sans doute être mon père, qui était allé faire un tour au petit coin. Un frisson parcourut mon dos lorsque je tendis l'oreille et entendis un grincement. Je m'arrêtai d'écrire, et prononçai, la voix tremblotante : — P... Papa ? C'est toi ?" Aucune réponse. Je commençai vraiment à m'inquiéter. Et les petits craquements sinistres du chalet me tardaient bien de me le rappeler. Je me grattai la tête, en signe d'angoisse : que devais-je faire ? Aller voir ou laisser faire ? Je me refermai sur moi-même, les murs du chalet me paraissant effrayants dans le noir de la nuit. Le bois était vieux, abîmé, et presque moisi. Un idée me traversa l'esprit, tel un éclair : et si les pas que j'endentai étaient ceux d'un cambrioleur ? Ma respiration s'accéléra, et mon pouls fit de même. Les pas se rapprochèrent, j'eus l'impression qu'ils passèrent devant la porte de ma chambre, et je cru presque entendre le souffle du suspect. Une goutte de sueur perla sur mon front. Je me levai, et criai de toutes mes forces : — Bon, ça suffit, s'il y a quelqu'un dans ce chalet, qu'il me le dise ou qu'il crève ! Je pris un vieux couteau suisse qui trainait sur mon bureau et sortis de ma chambre. Cette scène me rappelai un de ces films d'action, ou la victime finissait tuée par la personne qui c'était introduite par "effraction" dans la maison de quelqu'un. J'avais beau me répéter que ce n'était qu'un cauchemar, cela n'apaisait pas ma peur. Je traversai le couloir, sur mes gardes, le couteau en avant. J'échappai un cri de surprise et de peur lorsque une bourrasque de vent claqua contre le chalet. Pitié que ça en finisse, pitié... Je sentis presque les larmes me monter aux yeux, par panique, lorsque les pas retentirent derrière moi. Je me retournai, affolée, et découvrais une ombre qui se glissai dans une pièce. Je reculai, que faire ? La suivre ou rentrer dans ma chambre et fermer la porte à clés ? Je posai ma main sur mon front ; si ça se trouve, ce n'est que de la fièvre.... Oui c'est ça, que de la fièvre, il n'y avait personne chez moi, j'entendais des pas et voyait des ombres, mais bien sûr ! Presque en courant, je me précipitai dans la pièce ou peu avant était entré quelque chose. J'ouvrais la porte dans un fracas impressionnant. Mais il n'y avait toujours rien ! Le souffle du vent m'inquiéta davantage : il faisait comme le souffle de quelqu'un ou plutôt de quelque chose... Tout à coup, la lumière s'alluma et je vis une énorme banderole accrochée au mur : Joyeux Anniversaire ! Ah ! C'était donc ça...
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J'espère que ça ne te dérange pas, mais j'ai organisé une petite fin à ma guise. ;) | |
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